Simplifiez vos mentions l Gales RGPD avec nos exemples cl S en main

Naviguer dans les exigences du RGPD pour vos mentions légales peut sembler un défi de taille, surtout face à la complexité des obligations et la crainte des sanctions. Comment garantir que votre site web, application ou formulaire de collecte de données respecte scrupuleusement la loi, sans devenir un expert juridique ? Ce guide est conçu pour vous offrir bien plus que de simples définitions : il intègre une approche de pré-conformité, essentielle pour anticiper et simplifier votre démarche. Vous y trouverez plus de 10 exemples concrets et des modèles clairs, adaptés à des cas d’usage spécifiques comme l’e-commerce avancé, les applications mobiles, les dispositifs IoT ou encore l’intelligence artificielle, vous faisant gagner un temps précieux tout en assurant une conformité robuste.

Modèle consentement RGPD pour newsletter et site web

Naviguer dans les méandres du RGPD pour la collecte du consentement peut s’avérer un véritable casse-tête, surtout face aux risques d’amendes pouvant atteindre jusqu’à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires mondial. Vous vous demandez sûrement comment élaborer des formulaires de consentement RGPD qui soient non seulement irréprochables sur le plan légal, mais aussi parfaitement ajustés à vos activités spécifiques, sans vous noyer dans un jargon juridique complexe ? Ce guide a été conçu pour vous apporter des réponses claires et des solutions concrètes. Au-delà des fondements essentiels, vous découvrirez des analyses d’erreurs de formulation courantes avec leurs corrections détaillées, ainsi que des approches textuelles pour adapter vos demandes de consentement à des scénarios variés, allant de la simple newsletter à des contextes plus spécifiques comme l’inscription à un programme bêta. Notre objectif : démystifier le consentement RGPD et vous armer pour une mise en conformité sereine et efficace.

RGPD définir et appliquer les durées de conservation des données

Comment vous assurer que votre entreprise respecte le RGPD en matière de conservation des données, sans vous noyer dans la complexité légale et risquer des amendes substantielles ? La gestion des durées de conservation est un pilier central du Règlement Général sur la Protection des Données, et sa maîtrise est essentielle non seulement pour éviter les sanctions, mais aussi pour bâtir une relation de confiance durable avec vos clients. En effet, au-delà des pénalités financières directes, une conservation inadéquate ou excessive des données personnelles expose votre organisation à des risques indirects significatifs : augmentation de l’impact en cas de violation de données, alourdissement de vos charges opérationnelles pour la gestion et la sécurisation de ces volumes, et complexification de la réponse aux demandes d’exercice des droits des personnes. Ce guide a été conçu pour transformer cette obligation perçue comme une contrainte en une opportunité stratégique, en vous offrant des clés pour une gouvernance des données transparente et responsable, capable de devenir un véritable différenciateur concurrentiel.

Article 26 RGPD : qui fait quoi en cas de traitement conjoint ?

Face au labyrinthe juridique du RGPD, s’assurer que vos collaborations professionnelles respectent l’Article 26 sur la responsabilité conjointe, sans risquer de lourdes sanctions ni des litiges complexes, est un défi majeur. Ce guide a été conçu pour aller bien au-delà d’une simple lecture de la loi. Nous allons non seulement décortiquer les obligations fondamentales et la définition des responsables conjoints, mais aussi mettre en lumière des aspects cruciaux souvent négligés : par exemple, l’impact significatif que l’Article 26 peut avoir sur l’ensemble de votre écosystème contractuel existant, y compris la nécessité d’aligner vos accords de sous-traitance (Art. 28) avec des processeurs communs ou vos contrats de service (SLA) avec des fournisseurs partagés. Nous explorerons également comment le Délégué à la Protection des Données (DPO) peut jouer un rôle stratégique pour anticiper et gérer ces interdépendances complexes, transformant la conformité en un véritable atout pour des partenariats sereins et sécurisés.

La CNIL annonce son plan stratégique 2025-2028

La CNIL vient de dévoiler son plan stratégique 2025-2028, structuré autour de quatre axes majeurs : l’intelligence artificielle (IA), la protection des mineurs, la cybersécurité et les usages numériques du quotidien (applications mobiles et identité numérique). Ce plan, qui vise avant tout à renforcer la protection des données personnelles et la sécurité dans un environnement numérique en constante évolution, offre à toutes les organisations l’opportunité de transformer ces exigences réglementaires en leviers de compétitivité et de confiance. L’objectif n’est pas seulement de se conformer à la réglementation, mais également d’optimiser les pratiques internes pour accompagner l’innovation et améliorer l’expérience utilisateur.

250.000€ + 150.000€ de sanctions, des leçons à tirer pour la conformité RGPD

La CNIL a récemment infligé deux amendes de 250 000 euros et 150 000 euros à des sociétés de voyance pour une série de manquements aux obligations du RGPD. Les manquements existants sont intéressants et méritent une analyse détaillée. Voyons ensemble ce que ces sanctions nous apprennent sur les bonnes pratiques à adopter.

Privacy Shield : les nouvelles règles de transfert de données vers les Etats-Unis

La question des transferts de données personnelles vers les Etats-Unis a fait l’objet d’une véritable saga judiciaires ces dix dernières années! En Europe, nous disposons d’un cadre juridique qui permet d’assurer une protection importante des données personnelles. Ce n’est pas le cas aux Etats-Unis qui ne disposent pas de ce niveau de protection, ayant adopté par principe la libre utilisation des données personnelles. Pour que le RGPD autorise le transfer des données de l’Europe vers les US, il fallait donc nécessairement disposer d’un cadre juridique spécial, qui confère le même niveau de protection aux données, une fois transférées outre-atlantique. C’est le rôle du Privacy Shield !

Le principe de minimisation imposé par le RGPD, attention aux données collectées !

Le principe de minimisation qui a été introduit dans le RGPD opère un changement majeur par rapport à la règlementation antérieure. En effet, il n’est désormais possible de collecter des données que si celles-ci sont strictement nécessaires aux finalités pour lesquelles elles sont collectées. Le changement est radical au regard de l’ancienne directive, qui permettait de collecter des données tant que cela n’était pas excessif. Aujourd’hui, il faut donc s’assurer que les données sont bien nécessaires, voir strictement nécessaires aux finalités définies par l’article 30 du RGPD.

L'article 30 du RGPD et la tenue des registres des activités de traitement (RT/ST)

L’Article 30 du RGPD impose une obligation essentielle de tenir un registre détaillant les activités de traitement des données personnelles mises en œuvre au sein des organisations. La loi impose, en effet, aux organisations de référencer les processus qui traitent des données personnelles, afin de pouvoir assurer leur conformité. Attention, cependant, on ne référence pas les données personnelles elles-mêmes, mais les activités qui vont engendrer le traitement de données personnelles (site web, newsletter, CRM…).

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Thiébaut Devergranne
Thiébaut Devergranne
Thiébaut Devergranne est docteur en droit et expert en droit des nouvelles technologies depuis plus de 20 ans, dont 6 passés au sein des services du Premier Ministre. En savoir plus

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